Le mercredi 21 décembre 2016, le Rassemblement Citoyen Valais (RCV) a fait son apparition sur la scène politique valaisanne. En très peu de temps, le RCV est parvenu à présenter un candidat au Conseil d’Etat et quatre listes au Grand Conseil. Lors du 1er tour à l’élection au Conseil d’Etat, notre candidat Jean-Marie Bornet a obtenu un très bon résultat de plus de 17’000 voix. Vu la configuration des forces en présence au 2ème tour, Jean-Marie Bornet, en accord avec le comité du RCV, a pris la décision de ne pas se présenter à la prochaine élection et de se concentrer, en capitalisant sur ce succès, sur la construction du Rassemblement Citoyen Valais afin d’écrire prochainement de belles pages en faveur du Valais.

Le comité du Rassemblement Citoyen Valais se dit très satisfait des premières démarches entreprises. En quelques semaines, le RCV s’est fait un nom sur la scène politique valaisanne. En obtenant plus du 14 % de suffrages dans la course au Conseil d’Etat, le Rassemblement Citoyen Valais démontre qu’il faudra compter avec lui à l’avenir car il répond à des attentes des citoyennes et citoyens.

Notre engagement visera dorénavant à consolider le RCV en structurant notre formation politique sur le plan cantonal, dans toutes les régions. Nous poursuivrons évidemment notre démarche participative afin de défendre nos valeurs, nos engagements généraux et thèmes politiques.

S’agissant du 2ème tour pour la course au Conseil d’Etat, le RCV constate que le Valais doit poursuivre ses efforts afin d’élire des femmes et des hommes compétents qui pourraient s’inspirer des valeurs du RCV : clarté, cohérence, confiance, dynamisme, honnêteté, indépendance, ouverture, respect, transparence, engagement et rassembleur.

Le Rassemblement Citoyen Valais conserve son cap et ne donne pas de consigne de vote. Nous encourageons les 17’389 personnes ayant donné leur confiance à Jean-Marie Bornet, de même que les Valaisannes et Valaisans, à élire les personnes les plus à même à s’engager dans l’intérêt du canton. Nous nous distançons des personnes qui pourraient avoir des relations proches des différentes formes d’extrémisme et ne souhaitons pas une surreprésentation des partis au sein du Gouvernement.